ARTS HAUTE COIFFURE MANIERE DE MARIE-ANTOINETTE (26 PAGES PROF ET ELEVE)
Que de sottises n'est-ce pas ? Des coiffures allant jusqu'à un mètre de hauteur ! Mais, pour nos élèves, dessiner ce type de coiffure où les brins de folies créatrices sont permis, pourquoi pas ? Marie-Antoinette a lancé la mode des «« poufs» ! Et ce n'est que de cela dont vous aurez à parler à vos élèves! Il suffit de faire imprimer le cahier de l'élève s'ils ont plus de 8 ans et de suivre les pages une à une en explicitant lorsque cela est nécessaire.
1- Cahier de l'élève (4 pages) : Page couverture de sa coiffure la plus connue, texte qui parle de ses drôles de coiffures hautes, tâche à réaliser pour obtenir une coiffure fabuleuse, auto-évaluation de l'élève et évaluation de l'enseignante.
2- Un cahier pour l'enseignante avec de nombreux dessins des coiffures extravagantes de Marie-Antoinette (24 pages)
3- Une affiche pour la babillard des oeuvres des élèves
Voici une partie du texte (inclus au complet) à leur lire en adoptant votre discours si ce sont des élèves plus jeunes !
Les poufs sont d’immenses coiffures extravagantes qui peuvent représenter un navire, des montagnes enneigées, un jardin avec ses ruisseaux, des animaux… Marie-Antoinette adorait se faire coiffer de façon extravagante et était très heureuse de se distinguer autant! Toute la cour n’avait de cesse de s’exclamer en découvrant ses coiffures si...surprenantes, audacieuses, élaborées et fabuleuses! Bien entendu, les femmes de son entourage cherchaient elles aussi à avoir des coiffures les plus hautes possible! Pourtant, il faut dire que les journalistes de l’époque se moquaient d’elle ainsi que les caricaturistes.
Des sculptures faites de fils de fer, de gaz, de divers tissus, de plumes, d’un navire, de faux cheveux mais surtout des propres cheveux de la cliente, dressés en position quasi verticale, de fleurs et même de fioles d’eau pour que la parure ne se fane pas au sommet de la tête de la « pauvre » reine ! Cela prenait toute une journée au coiffeur, Léonard- Alexis Autié, pour confectionner directement sur la tête de la belle, un couvre-chef digne de ce nom!
Que de patience (ou de sottise...) pour la dame qui, avec sa coiffe d’un mètre de hauteur devait dormir assisse, le haut du corps appuyé sur une montagne d’oreillers, tels les matelas de la princesse au petit pois! Eh oui, trois, quatre ou même cinq oreillers étaient nécessaires pour maintenir la tête droite la nuit durant ! La taille du pouf et des robes rendaient également compliquées l'entrée et la sortie des dames dans leur carrosse, les obligeant à se plier en deux ou même...à entrer à genoux avec leurs longues et encombrantes robes! Quelle drôle d’idée n’est-ce pas ?!
Grands mercis de m'aider à faire connaître mes travaux en donnant le lien Internet de cette fiche plutôt que la fiche...
CRÉDITS
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Au plaisir,
France Dufour